Chaque plat correspond à un rêve type, qu’il suffit de déguster pour réaliser.

Le propos de fond étant qu’aujourd’hui, presque tous les rêves sont accessibles avec peu ou beaucoup de travail (et d’argent). Nous sommes incités à rêver plus, et toujours plus grands pour consommer également à un rythme plus élevé. 

Cette consommation cadencée ne correspond pas au rythme de notre planète, ou à un rythme d’épanouissement sain et bientôt que restera-t-il a rêvé ?

J’ai décidé de décliner le concept en sept plats qui seraient servis dans un restaurant « la maison Maslow », nom choisi en référence à la pyramide de Maslow. Cette pyramide des besoins hiérarchise ces derniers. La satisfaction des besoins d’un niveau engendre les besoins du niveau suivant.

J’ai poursuivi cette logique avec mon menu des rêves, besoin et envie ne faisant plus qu’un. Une fois les six premiers rêves engloutis, si la faim est encore présente, seule la fin pourra alors être rassasiante.